Une supplémentation en vitamines associée au sélénium permettrait aux patients atteints par le VIH/SIDA et non encore traités de ralentir la progression de la maladie. C’est ce qui ressort d’une étude américaine publiée dans la revue JAMA. Si la découverte peut sembler d’importance, le Pr Jean-Michel Molina, chef de service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Saint Louis à Paris, appelle à la prudence.
Ecrit par : Vincent Roche – Edité par : Emmanuel Ducreuzet
Source : JAMA, 26 novembre 2013 – Interview du Pr Jean-Michel Molina, 25 novembre 2013