En France, un patient (15-34 ans) souffrant d’acné sévère sur six n’est pas traité. Or la maladie ne se limite pas à quelques boutons disgracieux. Non, elle crible en effet de cratères le visage, le cou, le thorax et encore le dos, laissant des cicatrices parfois irréversibles. Pour ces malades jeunes, l’impact psychologique est considérable et bien souvent sous-estimé par l’entourage. « Il faut consulter », leur lancent les dermatologues. Car des solutions existent bel et bien.
Source: Destination Santé - Conférence de presse Pierre Fabre Dermatologie, juillet 2013
Intéressant! Mon fils souffre de ce problème depuis 2 ans. Et ce n'est pas toujours facile!